Jeunes Sapeur Pompier de Saint Julien en Genevois

JSP saint julien en genevois espace

Challenge de la qualité

 

Toute les années, le Service Départementale d’Incendie et de Secours de la Haute Savoie (74) organise avec l’aide de partenariat, cette journée exceptionnel.   Le challenge de la qualité est un grand rassemblement sportif départementales, zonales et nationales Sapeurs-Pompiers. Environs 350 à 400 participants sont attendu chaque année pour s’affronter sportivement et surtout de passé une journée inoubliable en souvenir. Chaque athlètes à la possibilité de s’inscrire à une épreuve de son choix et
suivant les résultats de qualifications, il peu se sélectionner en Régional voire National:

  • Vitesse (80 mètres,100 mètres),
  • Demi-fond (500 mètres, 800 mètres, 1000 mètres),
  • Relais 4*400 mètres,
  • Lancer de poids,
  • Saut en hauteur,
  • Grimpé de corde,Et l’épreuve reine: * le Parcours Sportif Sapeurs-Pompiers (PSSP)

Cross

Cross


La section de Jeunes-Sapeurs-Pompiers de Saint-Julien-en-Genevois participe chaque année au cross départemental des Sapeurs-Pompiers. Cette manifestation a lieu dans chaque département courant Novembre. Elle regroupe les différentes sections de JSP ainsi que des Sapeurs-Pompiers dans des courses différentes selon des catégories d’âge. La spécificité de cette épreuve est une course d’endurance sur un parcours aux revêtements variés mais essentiellement naturels comme des chemins de terre ou encore des prairies.
Bien que la course soit rythmée par la compétition et permet un classement des coureurs à l’arrivée, le respect de l’autre et l’entraide sont au rendez-vous. Ainsi tous les participants s’encouragent durant leurs efforts et l’esprit de camaraderie permet de surmonter les difficultés de la course.Un large panel de parcours existe pour différentes catégories. Les plus jeunes courent sur des distances de deux kilomètres alors que les plus âgés parcourent un tracé de dix kilomètres.
À l’issue de la course, un classement est établi et les cinq premiers concurrents de chaque catégorie sont retenus pour le cross régional et national. Cette fois ce n’est plus leur section qu’ils représentent mais le département de la Haute-Savoie au moment de ces deux nouvelles manifestations inter-département. Il y a alors un classement par équipe qui regroupe les cinq coureurs d’un même département.

C’est une excellente occasion pour partager le temps d’un week-end une expérience unique avec d’autres jeunes animés de la même passion et de faire de nouvelles connaissances !

Le cross départemental se déroule sur une journée avec une multitude de courses qui se succèdent selon des horaires définies. Bien souvent, les coureurs commencent par effectuer une
reconnaissance du parcours pour repérer la nature du sol ainsi que les potentielles difficultés comme le dénivelé. Puis, ils se rendent à la chambre d’appel et commence leur échauffement en attendant le départ.

 La course concerne des centaines de participants qui tâchent de réaliser leur objectif personnel. À l’arrivée, ils déposent leur dossard et le classement est alors établi. Les participants d’autres catégories peuvent se répartir le long du parcours pour encourager les coureurs. À la fin de
la journée a lieu la remise des récompenses individuelles et par équipe.

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Le Parcours Sportif Sapeurs-Pompiers (PSSP)

Le Parcours Sportif Sapeurs-Pompiers (PSSP)


Descriptif du parcours: Le PSSP correspond pour les sapeurs-pompiers au parcours du combattant pour les militaires. l’athlète doit effectuer une course de 100 m en va-et-vient (4*25 m), un tirer de dévidoir normalisé pendant 100 m (2*50 m), un lancer de deux commandes à travers une fenêtre située à 8 m , une course de 50 m avec sur l’itinéraire de passage dans u tunnel avec chicanes de 1 m de hauteur. Il doit ensuite prendre un tuyau et franchir une haie de 1 m de hauteur, passer sur un banc de 4 m de long en équilibre, poser le tuyaux dans un carré, prendre un sac de 30 kg, le porter sur 25 m en franchissant trois obstacles, le poser sur une table et courir pendant 25 m pour finir l’épreuve. Les épreuves du parcours sont adaptées en fonction de la catégorie d’âge. Les généralités: Le PSSP a une similitude avec les actions menées au cours d’une opération d’extinction d’un feu. La course correspond à la reconnaissance, préambule à toute décision, Le tirer de dévidoir à l’établissement d’ une division, Le lancer de commande à l’envoi évntuel de matériel, Le passage de tunnel à la position du binôme d’attaque au cour de l’attaque d’un feu pour limiter les effets de chaleur, Le passage sur la poutre représente une progression en hauteur, et enfin, Le porter de sac correspond au sauvetage d’un enfant. Cette épreuve était utilisé autrefois pour évaluer l’aptitude physique des sapeurs-pompiers dans le cadre de la visite médicale annuelle. Développement des qualités physiques: La réalisation requiert de la part des participants de nombreuses qualités:

  • de la résistance, l’effort correspondant à une course de 400 ou 800 m ;Parcours-sportif-1-300x130
  • de la force, pour tirer le dévidoir dont la charge correspond au dévidoir opérationnel ;
  • de la vitesse ;

Parcours sportif 1
  • de l’adresse, pour lancer les commandes à travers une fenêtre ;
  • de la souplesse, pour passer rapidement dans le tunnel ;
  • de la détente, pour franchir la haie;
Challenge jeunes pompiers saint julien en genevois

Le Grimpé de Corde

Le Grimpé de Corde


1) HOMMES (SENIORS, JUNIORS, CADETS ET MINIMES) Grimper à 5 mètres mesures du sol ou de la plate forme de départ. Le départ est laissé à l’initiative du concurrent. Le chronomètre est arrêté lorsque le concurrent  touche d’une main, la marque des 5 mètres.

  • seniors et juniors: bras seuls, départ assis, talons décollés du sol;
  • cadets: bras seuls, départ debout sur un pieds, sans élan;
  • minimes: bras et jambes, départ debout sur un pieds, sans élan.

2) FEMMES (SENIORS, JUNIORS, CADETTES ET MINIMES   Grimper à 5 mètres mesurés du sol ou de la plate forme de départ, bras et jambes, le départ se fait debout sur un pieds, sans élan. Le départ est laissé à l’initiative de la concurrente. Le chronomètre est arrêté lorsque la concurrente  touche d’une main la marque des 5 mètres. TABLEAU DES TECHNIQUES employés obligatoirement par les différentes catégories
de l’équilibre pour passer la poutre.

HOMMES

CATEGORIES HAUTEUR DEPART DEBOUT BRAS SEULS BRAS + JAMBES DEPART ASSIS
SENIORS 5 m   x   x
JUNIORS 5 m   x   x
CADETS 5 m x x    
MINIMES 5 m x   x  


FEMMES

CATEGORIES HAUTEUR DEPART DEBOUT BRAS SEULS BRAS + JAMBES DEPART ASSIS
SENIORS 5 m  X    X  
JUNIORS 5 m  X    X  
CADETS 5 m x    X  
MINIMES 5 m x   x  

Saut en Hauteur

Saut en hauteur


LE MATERIEL Les poteaux Ils doivent être suffisamment grands pour dépasser d’au moins 1 m la hauteur maximum. La distance entre les poteaux est au minimum de 4 m et maximum de 4,04 m.
La barre *  En fibre de verre *  De section circulaire *  Embouts de section carrée *  Longueur de 4 m (plus ou moins de 2 cm) . *  Poids 2 kg *  Diamètre 29 mm à 31 mm Le terrain d’appel
La longueur minimum de la course d’élan est de 15 m et si possible de 25 m.
Le terrain d’appel est horizontal. Point technique Dans tous les cas de record, le juge vérifie la mesure chaque fois que la barre est placée à la hauteur du record et  vérifie la mesure avant chaque tentative ultérieure contre le record si la barre est touchée. Depuis le mesurage. Le juge s’assurer, avant que la compétition ne commence, que la partie inférieure et la face de la barre devant le sauteur soient reconnaissables et que la barre soit toujours remise en place avec la même face tournée vers le sauteur.

Lancer de poids

Lancer de poids

Selon la nature de la zone de chute, le poids est fait, soit d’un métal massif ou d’une enveloppe métallique lestée, soit encore de plastique souple ou de caoutchouc avec un remplissage approprié. Les deux types de poids ne peuvent néanmoins être utilisés lors de la même compétition.

Les concurrents prennent place à l’intérieur d’un cercle de 2,1 mètres (7 pieds) de diamètre. Ils doivent reposer le projectile entre le cou et l’épaule, et pousser leur bras de lancement tout droit. La distance du lancer est mesurée de l’avant du cercle à l’endroit où le projectile est tombé. Chaque concurrent obtient un certain nombre de lancers, habituellement 6 dans les compétitions d’élite, et le concurrent réalisant la plus grande distance est déclaré le gagnant.

En compétition pour hommes, le projectile a une masse de 7,260 kilogrammes (16 livres) ; le projectile des femmes de 4 kilogrammes. Les lycées américains emploient habituellement des projectiles de 12 livres (5,44 kilogrammes) pour les garçons et des projectiles de 4 kilogrammes pour les filles, ceux-ci sont parfois connus comme des « projectiles de pratique » ; pour l’épreuve d’athlétisme du baccalauréat français, on utilise des projectiles de 6 kg pour les garçons et de4 kg pour les filles.

Il y a actuellement deux techniques pour le lancer du poids. La première consiste à se placer à l’avant du cercle et de le lancer, alors que l’autre, plus récente, implique de faire une rotation comme lors du lancer du disque.

Relais 4*400 mètres

Relais 4*400 mètres


Cette épreuve consiste à la succession de relais pour quatre compétiteurs qui doivent chacun parcourir 400 mètres et se transmettre le témoin. La transmission du témoin se passe dans une zone de transmission de 20 mètres. Si le passage du témoin est réalisé avant ou après cette zone, c’est une faute éliminatoire du relais.

Les épreuves se déroulent par équipe de club, et par catégorie d’âge. Aux Jeux olympiques et dans les championnats du Monde et continentaux, ce sont des équipes nationales qui sont engagées.

Demi-fond (500 mètres, 800 mètres, 1000 mètres)

Demi-fond (500 mètres, 800 mètres, 1000 mètres)


Le demi-fond concerne l’ensemble des courses d’athlétisme comprises entre le sprint et le fond (de 800 m à 3 000 m) et qui se déroulent dans une enceinte sportive ou extérieur.Seuls le 800 m et le 1 500 m sont au programme des Jeux olympiques. Il est primordial qu’un coureur de demi-fond ait la possibilité d’enchaîner de rapides accélérations, une grande concentration et réactivité.

Vitesse (80 mètres, 100 mètres)

Vitesse (80 mètres, 100 mètres)


De toutes les activités athlétiques, les courses de vitesse ou sprints sont les plus pratiquées, et ce dès les origines olympiques. Elles consistent à parcourir un espace court (jusque 400 m) dans le plus petit laps de temps.

Le 100 m est la course la plus courte dans le calendrier de plein air. Elle est aussi l’une des plus anciennes puisqu’on retrouve trace du sprint dès le xve siècle av. J.-C., si l’on se fie à Homère et aux poètes grecs. La distance originale initiée par les Britanniques fut le 110 yards (100,52 m) puis le 100 yards (91,44 m) avant que le mètre ne devienne la norme officielle. Au début du siècle, le journaliste George Prade définit le 100 m comme « L’aristocratie en mouvement ». Selon lui, peu d’entraînement est nécessaire pour obtenir des résultats appréciables, la vitesse étant innée chez l’athlète. Au fil des années, le 100 m a supplanté le marathon et est devenu l’épreuve-reine de l’athlétisme, du fait du nombre accru de concurrents et de l’intérêt qu’elle suscite auprès des spectateurs.

Le 200 m actuel s’apparente à la longueur du stade de la Grèce antique (« stadion » signifie littéralement longueur du stade). Il découle du découpage du mile anglais et est disputé à l’origine sur 220 yards. Longtemps exécuté en ligne droite, le 200 m avec un virage sur une piste de 400 m est officiellement reconnu en 1958. Les spécialistes de cette épreuve doivent combiner la vitesse de base d’un sprinter de 100 m, mais posséder également une capacité d’accélération estimée à 130-140 m.

Le 400 m a pour origine le double stade ou diaulique (384 m), épreuve exécutée dans l’Antiquité. Remise au goût du jour au Royaume-Uni sous la forme du quart de mile (440 m), cette épreuve est considérée comme un sprint d’endurance dans la mesure où elle requiert, en plus de la puissance physique, une capacité de résistance à la fatigue et à la douleur, ainsi qu’une gestion optimale de la fréquence de course. Les athlètes courant le 400 m sont pendant longtemps divisés en deux catégories, les sprinteurs purs issus du 200 m et les sprinteurs plus endurants issus du 800 m. Aujourd’hui, la grande majorité des spécialistes du tour de piste ont un morphotype proche des athlètes courant sur courte distance.